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De ses politiques commerciales favorables à un niveau de vie élevé, la France est aujourd’hui connue comme un endroit aussi extraordinaire pour travailler et créer une entreprise prospère que pour vivre une vie agréable.

Ouvrir une société en France est un grand pas en avant pour de nombreux entrepreneurs, mais avant de franchir le pas, vous devez décider quel type de structure de société convient à votre activité.

Les structures commerciales les plus courantes en France sont les suivantes :

  • Société à responsabilité limitée – Société a responsabilité limitée (SARL)
  • Société unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL)
  • Société privée à responsabilité limitée (SELARL)
  • Société par actions – Société Anonyme (SA)
  • Société par actions simplifiée – SAS (Simplified joint-stock)
  • Société par actions simplifiée unipersonnelle (SASU)
  • Société en nom collectif – General Partnership (SNC)
  • Entreprise individuelle – Sole proprietorship (EI)
  • Société civile professionnelle (SCP)

Société à responsabilité limitée – Société a responsabilité limitée (SARL)

La SARL est la forme de société la plus populaire en France. Elle offre l’avantage d’une structure simple dans laquelle la responsabilité des associés est limitée au montant de leurs apports. Ce type de société en France ne peut être constitué que par au moins deux actionnaires. Et pas plus de 100 personnes physiques ou morales ne peuvent enregistrer une SARL française. Aucun capital social minimum n’est imposé. Une SARL est généralement proposée aux petites et moyennes entreprises qui s’installent en France.

Société unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL)

L’EURL est une structure de société fréquemment utilisée en France. Elle est considérée comme une société anonyme établie par un seul associé et est donc soumise aux mêmes règles que celles relatives à une société à responsabilité limitée traditionnelle, à quelques exceptions près. La principale différence concerne son régime fiscal : ses revenus sont automatiquement imposés à l’impôt sur le revenu au nom de l’actionnaire. Pour créer une EURL, il est nécessaire de préparer des statuts.

Société privée à responsabilité limitée (SELARL)

La loi française a adopté les règles de fonctionnement de la société à responsabilité limitée et les a adaptées aux nécessités des professions libérales, et la SELARL est née. Ces règles sont très similaires à celles de la SARL, mais elles tiennent compte des particularités et de l’éthique des professions pour lesquelles elles ont été créées.

Société anonyme (SA) / La société anonyme de droit français

Une SA française est très similaire à une société anonyme. La SA est composée d’au moins deux actionnaires ou 7 si elle est cotée en bourse, avec un capital social minimum de 37 000 €. La responsabilité des actionnaires de SA est limitée à la valeur de leur contribution en actions. Les actionnaires des SA pourraient être non identifiés et pourraient également transférer leurs actions discrètement, de sorte que la direction de la société ne saurait pas nécessairement qui possède ses actions. Mais comme cela facilitait le blanchiment d’argent et l’évasion fiscale, des lois ont été adoptées pour y faire obstacle ; toutefois, les actions peuvent toujours être conservées par des sociétés holding pour cacher le véritable bénéficiaire.

Société par actions simplifiée – SAS (Simplified joint-stock)

Il s’agit d’une nouvelle forme d’entreprise qui a connu un certain succès depuis sa création. En conséquence, de nombreux AS ont été modifiés en SAS. La désignation SAS est comparable mais plus adaptable que la SA ; elle ne nécessite que deux associés et n’a pas besoin d’un conseil d’administration. Un président doit être désigné par les actionnaires et est responsable de la performance de l’entreprise. Une SAS peut également avoir un directeur général. L’entité SAS est souvent utilisée pour les filiales détenues en propre.

Société par actions simplifiée unipersonnelle (SASU)

Il s’agit de la création d’un SAS ayant la particularité d’être constitué d’un seul partenaire. Le partenaire unique prend seul les décisions, selon les règles traditionnelles précisées dans les statuts. Les règles appliquées dans un SAS sont appliquées dans un SASU avec une certaine explicitation. La SASU est rarement adaptée à une entreprise en démarrage.

Société en nom collectif – General Partnership (SNC)

Ce type d’entreprise est moins populaire en France en raison de la responsabilité conjointe et illimitée de tous les biens personnels de chacun des associés pour les dettes de la société. En ce qui concerne les sociétés de personnes, un minimum de deux associés est indispensable pour la création d’une société. Aucun capital minimum n’est imposé pour constituer une société commerciale en France. Les activités commerciales des partenaires doivent être menées sous le même nom commercial.

Société civile professionnelle (SCP)

En France, sa forme de société permet à plusieurs personnes exerçant la même profession libérale de l’utiliser en commun. Ils sont alors responsables de manière illimitée des dettes sociales. Aucun capital minimum n’est requis et les bénéfices de la société civile professionnelle (SPC) sont imposés à l’impôt sur le revenu au niveau de chaque associé.

Entreprise individuelle – Sole proprietorship (EI)

Il s’agit d’un type d’entité juridique avec un seul fondateur. Le fondateur est entièrement responsable de toutes les dettes et obligations. Aucun capital initial n’est attribué pour ce type de société en France.

Créer une entreprise en France est certainement l’un des moyens idéaux pour exploiter l’ensemble du marché européen et profiter de ses multiples avantages. Si vous êtes prêt à enregistrer votre entreprise en France, n’hésitez pas à contacter votre expert Damalion dès maintenant.