Sélectionner une page

Bureau Damalion France

Faire des affaires en France

 

La France est un pays magnifique et multiculturel, qui attire chaque année des millions de visiteurs dans le monde entier. Elle est la sixième économie mondiale et la troisième économie européenne en termes de volume du PIB. Des milliers d’entrepreneurs souhaitant créer une entreprise préfèrent choisir la France plutôt que d’autres pays européens en raison de la souplesse des lois, de la facilité des véhicules d’investissement et de la certitude politique.

Sixième économie mondiale, la France est un membre important de l’Union européenne et de l’OTAN. La population jusqu’en 2020 était de 67,39 millions d’habitants. Le revenu par habitant se situe au 18e rang avec 42 877,56 dollars. La France contribue pour environ 23 milliards d’euros au budget annuel de l’Union européenne, juste derrière l’Allemagne.

Dans chaque juridiction, avant de démarrer une activité, il est impératif d’accumuler des connaissances approfondies sur les lois, les règlements, les coutumes sociales, les régimes politiques et les voies économiques. Bien que ses lois pro-business, ses marchés financiers favorables aux entreprises et sa main-d’œuvre hautement qualifiée en fassent un endroit attrayant pour faire des affaires et attirer les investisseurs étrangers, il existe des procédures complexes pour créer des entreprises, pour lesquelles nous fournissons une connaissance approfondie.

AVANTAGES ET CONSIDÉRATIONS POUR FAIRE DES AFFAIRES EN FRANCE

  • Climat d’investissement : La France est au centre de l’Union européenne et a un accès facile aux plus grands marchés d’Europe et du monde. Une main d’œuvre hautement qualifiée et talentueuse, des centres d’affaires innovants, des infrastructures de transport de classe mondiale et des protections de la propriété intellectuelle rendent la région très volatile pour les investissements.
  • Centrale industrielle avec les principaux constructeurs automobiles et aéronautiques.
  • Un secteur touristique dynamique, avec plus de 85 millions de visiteurs annuels, qui contribue à 10 % du PIB du pays.
  • Des coûts de création de nouvelles entreprises plus faibles que ceux du Japon, des États-Unis et de l’Allemagne,
  • Environnement commercial favorable avec diverses conventions fiscales et simplification de la gestion des entreprises.
  • Une destination populaire pour les conférences d’affaires, pour les touristes et un système de soutien sous forme de French Tech Ticket pour encourager les hommes d’affaires et les entrepreneurs innovants en France.
  • Avancement technologique et 4e rang mondial en termes d’administration en ligne
  • Situation stratégique à la frontière de géants économiques comme l’Allemagne, la Belgique, le Luxembourg, la Suisse, l’Italie et l’Espagne, offrant de multiples possibilités aux nouveaux investisseurs.
  • Dans une enquête de la Banque mondiale sur la facilité de faire des affaires, la France se classe à la 29e place sur 189 nations. Le gouvernement français œuvre également pour faire progresser la nation.
  • Souvent appelée “nation de l’innovation”. Il a attiré plus de 1300 nouveaux entrepreneurs qui se sont engagés dans de nouvelles innovations au cours de l’année 220.
  • Le secteur bancaire français est le principal atout économique de la France.

SYSTÈME JURIDIQUE

La France est une république et est régie par la Constitution de la Cinquième République, adoptée en octobre 1958. Diverses réformes juridiques ont été entreprises en 2008 pour donner une nouvelle forme au processus législatif, en donnant au Parlement un droit de vote plus fort dans la promulgation des lois. Le système juridique français est basé sur le droit civil. Le système juridique met l’accent sur les lois codifiées.

La France a un parlement à deux chambres et un système quasi-présidentiel dans lequel le président est élu pour un mandat de cinq ans. Le président choisit ensuite un premier ministre et des ministres au sein de la majorité parlementaire.

L’autre distinction du système juridique français est son concept de double loi. La branche qui traite des entités et des questions publiques est connue sous le nom de Droit Public. L’autre branche du droit qui traite des questions privées ou des entités privées est appelée droit privé ou droit privé.

En outre, les tribunaux français sont également divisés en deux parties, à savoir les tribunaux judiciaires et les tribunaux administratifs. Les tribunaux judiciaires traitent des affaires civiles et pénales tandis que les tribunaux administratifs traitent de l’application des lois publiques.

La France est très accueillante pour les investisseurs et les entrepreneurs étrangers. Il existe de nombreux secteurs qui offrent une multitude de possibilités d’investissement. Certains de ces deux secteurs sont :

  • Secteur de l’automobile
  • Fabrication d’aéronefs et de leurs pièces
  • Fabrication d’engins spatiaux
  • Produits pharmaceutiques et industries connexes
  • Activités scientifiques et techniques
  • Informatique et services d’information
  • Technologies bio-technologiques et environnementales
  • Des infrastructures et une qualité de vie exceptionnelles

Les différentes entités commerciales en France, qui peuvent être formées légalement pour créer une entreprise, leur description a été résumée de manière succincte mais précise par nous dans les lignes qui suivent. Tous les types de sociétés/entités ont une structure de fonctionnement différente et des ramifications juridiques variées pour les actionnaires. Les régimes fiscaux et de sécurité sociale qui s’appliquent aux revenus de l’activité de l’entreprise/entité dépendent principalement du choix de la structure de l’entreprise.

Voici un aperçu succinct des entités commerciales :

SOCIÉTÉ À RESPONSABILITÉ LIMITÉE (SARL)

La société à responsabilité limitée (SARL) est l’un des choix préférés des entrepreneurs en raison de la simplicité de sa structure commerciale et de son fonctionnement. Elle limite la responsabilité des propriétaires/partenaires à l’étendue de leurs contributions.

Aux fins de sa constitution, il n’y a pas de capital minimum requis. Elle peut être créée par deux ou plusieurs associés et peut être gérée par un ou plusieurs gestionnaires, associés ou non.

SOCIÉTÉ À RESPONSABILITÉ LIMITÉE UNIPERSONNELLE (EURL)

La société à responsabilité limitée unipersonnelle (EURL) peut être constituée par un seul actionnaire. Il n’y a pas d’exigence d’investissement minimum en capital pour sa formation. Ses procédures opérationnelles sont presque similaires aux procédures de fonctionnement de la SARL. L’actionnaire a une responsabilité limitée, mais l’une de ses caractéristiques uniques et distinctives est que les bénéfices de l’actionnaire/propriétaire sont automatiquement soumis à l’impôt sur le revenu. En revanche, en ce qui concerne le paiement de l’impôt sur les sociétés, il n’y a pas de restriction de ce type.

SOCIÉTÉ PRIVÉE À RESPONSABILITÉ LIMITÉE (SELARL)

La société à responsabilité limitée (SELARL) est une autre forme efficace d’entité commerciale pour les professionnels libéraux et solitaires. Les lois régissant la société à responsabilité limitée (SELARL) sont presque identiques à celles de la SARL.

  • Il n’y a pas d’exigence d’investissement en capital minimum pour la création d’une société à responsabilité limitée.

SOCIÉTÉ ANONYME OU SOCIÉTÉ PAR ACTIONS FRANÇAISE (SA)

Un autre type d’entité commerciale très célèbre est la société anonyme ou la société anonyme à responsabilité limitée (SA). Les fondateurs d’une telle société peuvent être des personnes physiques ou morales. Pour sa formation,

  • le capital social minimum pour les SA est de 37 000 €. Et le capital est divisé en actions.
  • Il doit y avoir au moins deux actionnaires (et sept si elle est cotée en bourse).
  • Elle est dirigée par un conseil d’administration qui est composé de trois personnes, à savoir le président, le directeur général et le directeur. Une autre exigence est que la société doit nommer un auditeur pour son entité également.

La société anonyme est normalement utilisée pour les projets dont le volume d’investissement est énorme. Ou dans les cas où les actionnaires souhaitent faire fonctionner l’entreprise par l’intermédiaire du conseil d’administration. La responsabilité des actionnaires est limitée à leur pourcentage d’investissement.

SOCIÉTÉ PAR ACTIONS SIMPLIFIÉE (SAS)

La société par actions simplifiée (SAS) est une forme relativement nouvelle d’entité commerciale, qui a connu un certain succès. En conséquence, de nombreux SA ont été transformés en SAS. Pour sa formation et sa constitution,

  • Il n’y a pas de capital social minimum requis.
  • Elle peut être constituée de deux ou plusieurs membres ou partenaires.
  • Cependant, il est nécessaire de nommer des auditeurs afin de vérifier correctement les comptes de la société.
  • Un président ou un président doit être désigné par les actionnaires

Cependant, elle présente plusieurs avantages stratégiques. Les actionnaires disposent d’une liberté maximale pour organiser librement le fonctionnement des statuts de l’association. Par conséquent, sa formation et son fonctionnement sont guidés par des professionnels.

SOCIÉTÉ EN NOM COLLECTIF (SNC)

Une autre entité commerciale dont les lois françaises permettent la formation est la société en nom collectif (SNC). Cette structure commerciale ne protège pas les actifs de ses actionnaires. Les actionnaires sont donc solidairement responsables des obligations de l’firme sur leurs biens personnels. Son utilisation est donc limitée.

Pour sa formation et sa constitution,

  • il doit y avoir au moins deux membres.
  • il n’y a pas de capital minimum requis.
  • Elle peut être exploitée soit par des partenaires, soit par des gestionnaires.
  • En ce qui concerne la fiscalité, la Société en Nom Collectif (SNC) est soumise à l’impôt sur le revenu, les associés étant tenus de payer l’impôt sur la base de leurs bénéfices, mais la Société en Nom Collectif (SNC) peut choisir de payer également l’impôt sur les sociétés.
  • Les “activités” doivent être exercées par des partenaires sous le même nom.

SECTEUR BANCAIRE

Le secteur bancaire de la France est l’un de ses six principaux atouts économiques. Il y a 337 banques en France et des dizaines d’institutions financières. Toutes les banques et institutions financières ont été regroupées sous un seul système de surveillance. Le système bancaire et financier français est régi et surveillé par la BANQUE DE FRANCE. Elle est dirigée par le gouverneur. Le gouverneur est également à la tête de l’Autorité de contrôle prudentiel, qui délivre ou retire les licences bancaires, contrôle la conformité des banques avec les lois bancaires et supervise les firmeassurance.

Les institutions financières offrent des outils de financement, notamment des découverts garantis et non garantis, des facilités de crédit à court et moyen terme, et des prêts à court et long terme. En outre, les banques commerciales soutiennent les fusions, les acquisitions et les rachats, ainsi que les ventes publiques d’actions et de dettes d’entreprises. Il y a également 132 banques étrangères en France.

La plupart des institutions bancaires sont également présentes dans d’autres pays européens. Les investisseurs ont donc un accès facile aux facilités bancaires et aux véhicules.

Il existe deux types de fonds d’investissement proposés aux investisseurs.

Fonds du marché monétaire : Qui offrent des bénéfices raisonnables aux investissements à court terme. Le gouvernement ainsi que le secteur privé contribuent à ces fonds.

Fonds monétaires hors marché : Les placements dans ces fonds permettent d’obtenir des bénéfices raisonnables et durables pour des investissements à long terme. Plus de 10 milliards d’euros ont été investis dans ces fonds en 2021.

RÉGIME FISCAL

La Constitution française a posé les principes de l’impôt, qui sont applicables à tous et à chacun. En ce qui concerne la fiscalité personnelle, il existe trois types d’impôts en France :

L’IMPÔT SUR LE REVENU DES PERSONNES PHYSIQUES

Il existe différentes catégories d’impôts sur le revenu applicables en fonction des tranches de revenus. L’impôt sur le revenu est applicable aux taux progressifs. Différents facteurs contribuent au taux d’imposition, tels que la situation familiale, etc. Après avoir pris en compte ces facteurs, il existe des dizaines de tranches d’imposition.

LES SURCHARGES SOCIALES

La surtaxe sociale est également applicable à plusieurs types de revenus. Ils sont prélevés sur les salaires, les loyers, les intérêts, les dividendes et les gains en capital.

TAXE SUR LES BIENS ET SERVICES

Ce type de taxe est applicable aux échanges de biens et de services. Le taux normal de TVA en France est de 20%. Parallèlement, il existe des taux de TVA réduits pour certaines industries, comme les transports publics, les restaurants, l’alimentation, les livres, les licences de télévision, les journaux et les produits pharmaceutiques.

TAXE FONCIÈRE FRANÇAISE

Il existe des taxes foncières applicables à la vente, à l’achat et à la location de la propriété. L’impôt est calculé à la fin de l’exercice financier et est basé sur la vente présumée d’actifs et de revenus locatifs.

IMPÔT FRANÇAIS SUR LES PLUS-VALUES

L’impôt sur les plus-values est également applicable à la vente de bâtiments, de terrains et d’actions. L’impôt est applicable à un taux forfaitaire de 30 % sur les revenus et les gains de l’épargne et des investissements. Il comprend également un taux forfaitaire d’impôt sur le revenu de 12,8% et des charges sociales de 17,2%. En ce qui concerne la propriété, elle comprend l’impôt sur le revenu de 19% plus 17,2% de charges sociales, soit un total de 36,2%.

IMPÔT FRANÇAIS SUR LES SOCIÉTÉS

L’impôt sur les sociétés français est applicable aux sociétés résidentes à partir de leurs revenus de source française. En outre, toute entité étrangère ayant des activités en France est également traitée comme une société résidente à des fins d’imposition. Le taux d’imposition général standard des sociétés est de 25 %. Ce taux est limité pour les entreprises dont le chiffre d’affaires ne dépasse pas 7,63 millions d’euros. Pour les entreprises dont le chiffre d’affaires dépasse 7,63 millions d’euros, une taxe supplémentaire de 3,3 % est applicable.

L’impôt sur les sociétés est applicable à t payé en quatre versements. Pour les entreprises ayant plusieurs activités ou opérant sous le couvert de différentes entités, le régime offre également des taxations consolidées.

L’IMMIGRATION EN FRANCE

Le ministère des affaires étrangères en France est responsable des services d’immigration. Il existe différents types de permis de séjour et de visas. Le visa de visiteur est l’un de ces visas auxquels il est facile d’accéder. Il existe également d’autres voies, qui permettent d’obtenir des permis de séjour de courte et de longue durée. Ces autorisations de visa sont assez difficiles à obtenir en France. Récemment, de nombreux permis ont également été autorisés, tels que la carte de résident pour les talents, la carte de résident pour les retraités, etc.

Si vous souhaitez séjourner en France pour plus de trois mois à des fins professionnelles, il existe différents contrats proposés par les employeurs.

  • Contrats saisonniers – Ces contrats sont proposés par les employeurs pour des travaux saisonniers, principalement dans les domaines agricoles.
  • Contrats à court terme – Ces contrats sont destinés aux employeurs et aux employés qui souhaitent s’engager pour une courte période allant de 3 à 12 mois.
  • Contrats de longue durée – Ces types de contrats de travail portent sur des emplois d’une durée supérieure à 12 mois.

PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Les traités internationaux et les accords multilatéraux ont un impact important sur la protection et l’application des droits de propriété intellectuelle en France. La France est signataire de la Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle du 20 mars 1883 et de la Convention de Berne pour la protection des œuvres littéraires et artistiques du 9 septembre 1886.

  • Les brevets déposés et enregistrés en France sont applicables pendant une période de 20 ans. L’ingrédient principal pour l’enregistrement d’un brevet en France est la publication publique des informations contenues dans la demande de brevet ; la divulgation du contenu de la demande. Les droits de brevet expirent après 20 ans, et deviennent accessibles au public pour un nouvel enregistrement.
  • Les dessins et modèles sont enregistrés pour une période de 25 ans, tandis que les dessins et modèles communautaires non enregistrés sont protégés pendant trois ans après la date de leur divulgation initiale. Si les dessins et modèles enregistrés et non enregistrés sont conformes aux normes relatives aux droits d’auteur en France, ils peuvent tous deux être protégés par ces droits.
  • Toutes les marques communautaires ont un effet juridique en France et permettent de réserver un droit sur un signe pour une période de dix ans renouvelable sans aucune restriction. Par conséquent, les marques peuvent continuer à être utilisées et appliquées indéfiniment. Toutefois, les marques peuvent perdre leur caractère distinctif ou être annulées pour cause d’inactivité.
  • Il n’y a pas de droit d’auteur en soi applicable en France, mais seulement des droits d’auteur. Pour qu’un auteur puisse protéger son œuvre et bénéficier des droits exclusifs sur cette œuvre, aucune formalité d’enregistrement n’est requise. L’écriture de la pièce doit être originale. Les droits d’auteur comprennent les droits moraux et les droits économiques exclusifs.
  • Une partie peut bénéficier de la protection de ses secrets commerciaux sans avoir à passer par une quelconque procédure d’enregistrement auprès d’une autorité française. Elles sont protégées si elles ne sont pas facilement accessibles à la personne habituée à ce type d’information, si elles ont une valeur commerciale et si certaines mesures ont été mises en place pour préserver le secret.

La demande de protection des droits de propriété intellectuelle doit être déposée auprès de l’autorité nationale ou régionale compétente.

L’Institut national de la propriété industrielle procède depuis 2020 à une analyse approfondie des brevets, avec notamment une détermination de l’activité inventive (INPI) en France.

LOIS SUR LE TRAVAIL ET L’EMPLOI

La France dispose d’un système complet de lois codifiées pour régir la relation employeur-employé par le biais d’un ensemble de lois et de règlements complexes. Le Code du travail français et les conventions collectives fournissent un cadre pour la négociation de l’emploi et des questions connexes.

Les lois sont favorables aux employés. En cas de conflit entre les dispositions de la loi, la loi favorisera les droits et les revendications de l’employé.

La semaine de travail standard approuvée par le gouvernement est de 35 heures, mais les employés peuvent travailler au-delà et bénéficier d’heures supplémentaires et d’autres avantages. Un tribunal du travail spécialisé, composé de représentants des employeurs et des employés, examine en premier lieu les questions relatives à l’emploi.

  • La couverture nationale d’assurance maladie offerte aux citoyens français (CMU-C) fournit une couverture maladie universelle aux citoyens. En outre, les personnes ont la possibilité d’ajouter des choix de soins publics et privés à leur couverture. Le financement de l’assurance est collecté par le biais des charges sociales.
  • Le régime des congés de maternité est complet et peut s’étendre de 16 à 48 semaines de congés payés.
  • Quatre semaines de congé de paternité sont également accordées aux pères à la naissance de leur enfant.
  • Vacances payées – Selon la législation, tous les employés ont droit à au moins 30 jours civils (ou 25 jours ouvrables) de vacances payées chaque année.
  • Jours fériés payés – Les employés ont légalement droit à un jour férié payé par an (fête du travail).
  • La fête du travail est le seul jour férié légal payé en France, mais il existe encore 11 autres jours fériés fédéraux.

Il existe différents types de contrats de travail en France :

CONTRAT D’EMPLOI PERMANENT (CDI)

Le type de contrat de travail le plus courant en France est le CONTRAT DE TRAVAIL PERMANENT (CDI). La date de fin de contrat n’est pas précisée, ce qui garantit une certaine stabilité de l’emploi.

Ainsi, une personne recrutée dans le cadre d’un contrat à durée indéterminée peut rester à ce poste aussi longtemps qu’elle le souhaite, sauf si le salarié choisit de démissionner ou s’il convient mutuellement de mettre fin à sa relation de travail par une rupture classique.

ACCORD À DURÉE DÉTERMINÉE (CDD)

Un CONTRAT À DURÉE DÉTERMINÉE (CDD) est un accord conclu entre un employeur et un employé pour l’exécution d’un certain travail. Il doit être réalisé pendant une durée déterminée. Il prend fin soit à la date spécifiée, soit lorsque le résultat escompté est atteint. Ces contrats doivent être établis par écrit.

CONTRAT DE TRAVAIL TEMPORAIRE

Un CONTRAT D’EMPLOI TEMPORAIRE ne peut être conclu que pour l’exécution d’un travail spécifique, momentané et limité dans le temps. Le salarié couvert par un contrat de travail temporaire est donc celui qui est employé et payé par une ETT.

Les travailleurs qui sont employés temporairement ont droit à une rémunération, notamment en raison de la nature précaire de leur emploi. En outre, ils bénéficient d’un remboursement des congés payés.

Vous voulez en savoir plus sur la façon de faire des affaires en France avec Damalion ?

Damalion vous offre des conseils sur mesure fournis par des experts directement opérationnels dans les domaines qui posent problème à votre entreprise.

Nous vous conseillons de donner les meilleures informations possibles, afin que nous puissions qualifier votre demande et vous répondre dans les 8 heures qui suivent.